Je n'aurais pas dû te dire adieu C'est toi qui pars et moi qui deviens vieux Du souvenir De nos délires
Tu reviens souvent taquiner mes soirs Peupler mes rêves de tes légers foulards Soudain tu surgis du milieu des mots Qui s'écoulent, s'enroulent et rongent ma peau Ombres folles Farandoles
Mon corps se souvient de tes caresses Quand mon âme n'oublie aucune de tes tendresses Disparaître
Sans cesse revivre les mêmes histoires Tes désirs, tes plaisirs, ton sourire, tes regards Et renaître
Vraiment, vraiment je n'aurais pas dû Mais c'est la vie, je t'ai déjà perdue…
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