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premier amour
08/06/2006 17:40
Nous nous étions connus tout petits à l'école. Comme son père était de mon père voisin, Nous partions tous les deux sac au dos le matin Nos têtes s'encadraient d'une même auréole.
Dans la rose candeur du sourire enfantin, Nous étions bons amis. Quand les flots du Pactole Roulaient chez l'un de nous, par hasard, une obole, Nous divisions toujours en deux parts le festin.
Souvent, aux lendemains de mes fainéantises, Me laissant consulter en route son devoir, Elle sut m'épargner l'horreur du cachot noir.
Moi, je grimpais pour elle à l'arbre des cerises, Pour elle je pillais la vigne et le pommier, Et je la défendais comme un bon chevalier. Nous nous étions connus tout petits à l'école. Comme son père était de mon père voisin, Nous partions tous les deux sac au dos le matin Nos têtes s'encadraient d'une même auréole.
Dans la rose candeur du sourire enfantin, Nous étions bons amis. Quand les flots du Pactole Roulaient chez l'un de nous, par hasard, une obole, Nous divisions toujours en deux parts le festin.
Souvent, aux lendemains de mes fainéantises, Me laissant consulter en route son devoir, Elle sut m'épargner l'horreur du cachot noir.
Moi, je grimpais pour elle à l'arbre des cerises, Pour elle je pillais la vigne et le pommier, Et je la défendais comme un bon chevalier. Nous nous étions connus tout petits à l'école. Comme son père était de mon père voisin, Nous partions tous les deux sac au dos le matin Nos têtes s'encadraient d'une même auréole.
Dans la rose candeur du sourire enfantin, Nous étions bons amis. Quand les flots du Pactole Roulaient chez l'un de nous, par hasard, une obole, Nous divisions toujours en deux parts le festin.
Souvent, aux lendemains de mes fainéantises, Me laissant consulter en route son devoir, Elle sut m'épargner l'horreur du cachot noir.
Moi, je grimpais pour elle à l'arbre des cerises, Pour elle je pillais la vigne et le pommier, Et je la défendais comme un bon chevalier.
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jamais je te quette
08/06/2006 17:37
Je n'aurais pas dû te dire adieu C'est toi qui pars et moi qui deviens vieux Du souvenir De nos délires
Tu reviens souvent taquiner mes soirs Peupler mes rêves de tes légers foulards Soudain tu surgis du milieu des mots Qui s'écoulent, s'enroulent et rongent ma peau Ombres folles Farandoles
Mon corps se souvient de tes caresses Quand mon âme n'oublie aucune de tes tendresses Disparaître
Sans cesse revivre les mêmes histoires Tes désirs, tes plaisirs, ton sourire, tes regards Et renaître
Vraiment, vraiment je n'aurais pas dû Mais c'est la vie, je t'ai déjà perdue…
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que t'es islam
08/06/2006 17:34
Tu as le son d'une voix Qui fait naître autour de moi Des gerbes d'étincelles
Tu as le regard fragile Celui d'un lac immobile Où ton image est plus belle
Tu as ce goût sur tes lèvres Une saveur qui m'enfièvre M'attirant jusqu'à toi
Tu as le sourire charmeur Qui découvre ton cœur Et que rien n'éteindra.
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toi mon amour
08/06/2006 17:31
Que tu es belle mon amour Et un peu plus chaque jour Je t'aime et te désire Comme au tout premier soupir
Que tu es belle mon aimée Et tes lèvres adorées Qui sans cesse me charment A nouveau me désarment
Que tu es tendre mon amante Et lorsqu'une joie ardente T'inonde et te soulève Une aurore, un bonheur florilège.
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dis moi islam
08/06/2006 17:30
Dis-moi les mots qui n'existent pas Ceux que tes lèvres dessinent Et que tes yeux illuminent Tous ceux qui rayonnent en toi
Dis-moi l'émotion de tes rêves Lorsqu'un soleil couchant se lève Flamboyant l'océan s'embrase Que sont alors ces pauvres phrases ?
Ce sont pourtant ces mots là Qu'on garde au fond de soi Qui font vibrer le silence Et s'accorder notre romance.
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